Requiem de Jean Gilles, CD chez alpha
« Clément Debieuvre impressionne dès le début dénotant une sublime voix de haute-contre, posée et précise, insufflant une juste précision solennelle, émouvante et parfaitement appropriée à ce type de répertoire. »
musebaroque.fr
Te Deum, Radio France, correspondances
« Le haute-contre Clément Debieuvre offre l’assurance et la précision de ses phrasés, bien soutenus par un souffle maîtrisé »
Olyrix
Critiques Orfeo Sartorio direction Philippe Jaroussky, mise en scène Benjamin Lazar:
« qui croirait que le personnage d’Erinda, vamp nymphomane sur le retour, n’a pas été élaboré sur mesure pour Clément Debieuvre, qui y remporte un légitime succès ? »
Concert classic, Laurent Bury
« Clément Debieuvre se livre pleinement dans le rôle travesti et déluré d’Erinda, ne rechignant pas à se déhancher avec humour. Son ténor clair et appuyé a le caractère nécessaire à cette typologie vocale. Son expressivité théâtrale infuse son chant, pétillant. »
Olyrix
« Autour d’eux s’ébat le petit monde familier de l’opéra vénitien : la vieille entremetteuse, Erinda, incarnée de façon magistrale par la haute-contre Clément Debieuvre avec un look de star hollywoodienne sur le déclin parfaitement réussi »
Musicologie
« Dans le rôle d’Erinda, le ténor Clément Debieuvre se taille à juste titre un beau succès autant par le chant que par les multiples poses et mimiques qu’il adopte dans le cadre de cette merveilleuse direction d’acteurs, campant le personnage le plus drôle de la soirée et ne lésinant jamais sur les outrances qu’exige son rôle. On est particulièrement séduit par son interprétation des obsessions sexuelles de cette séductrice déclinante qui revendique fièrement l’héritage de tous ceux qui « ont été beaux » et qui « le restent ». Son numéro de duettiste avec Orillo est un sommet de l’art théâtral mis au service du chant. Haute-contre, il est capable d’affronter sans difficulté les aigus du rôle avec toute la puissance d’une voix riche en harmoniques, tout en jouant à merveilles les ambiguïtés dont raffolait l’époque puisque le rôle est écrit pour un travesti. »
Cult.news
« de l'Erinda irrésistible de drôlerie de Clément Debieuvre »
Le Figaro
« C’est le rôle du travesti d’Erinda affublé d’un costume aux seins proéminents tels ceux que Jean-Paul Gaultier avait conçus pour Madonna qui remporte la palme comique »
Un fauteuil pour l’orchestre
Couronnement de Poppee avec les épopées
direction Stéphane Fuget décembre 2023
« Lui aussi appelé à la dernière minute pour remplacer Nicholas Scott, Clément Debieuvre est Arnalta jusqu’au bout des doigts, parés de vernis rouge. L’élégance du chant et la tenue du phrasé ne cèdent jamais devant la caractérisation de ce personnage grotesque, que l’artiste défend avec beaucoup de tendresse. »
Forumopera
Disque David et jonathas chez aparté
"Le David que nous vaut l’ancien chantre Clément Debieuvre a la projection requise pour exprimer toute la palette des sentiments du futur roi. L’émission est solaire, chaleureuse, comme grave (« Souverain juge des mortels », au III), et la mort de Jonathas, poignante, est un sommet, traduite ici de façon magistrale."
Forumopera